Voici mon sixième travail.
vendredi 15 février 2013
Nature emmêlée
Par bougeneau le vendredi 15 février 2013, 15:10 - Victoria Bougeneau
dimanche 6 janvier 2013
5ème travail 1ère semaine
Par cardoso le dimanche 6 janvier 2013, 10:34 - Peinture
mardi 25 décembre 2012
Salope
Par Anaïs LAMELLIERE le mardi 25 décembre 2012, 20:15 - Anaïs Lamelliere
" Salope " dévoile une féminité, non pas militante, mais assumée qui questionne l'éthique et l'anthropologie.Cet aspect provocateur vis-à-vis de la représentation est exacerbé par le kitsch omniprésent.
Le travail fait directement référence à l'oeuvre et l'artiste Julien Salaud.
vendredi 21 décembre 2012
2ème travail
Par Anne Petiteau le vendredi 21 décembre 2012, 16:05 - Anne Petiteau
Le but de ce travail était de reprendre le statut de l'identité dans la photo. Celles-ci étant anciennes, plus personne ne se souvient des personnes présentes, ce qui rend leur manipulation plus facile. Je leur invente une nouvelle identité tout en créant des chimères à partir de mon visage et de leurs corps.
3ème travail
Par Anne Petiteau le vendredi 21 décembre 2012, 14:58 - Anne Petiteau
Dans ce travail je questionne la photo d'identité. Je joue alors avec d'infimes différences sur chacune des photos qui créent un malêtre chez le spectateur. On peut toujours voir le même cadrage, les mêmes vêtements, toujours la même personne, mais toujours différente.
lundi 17 décembre 2012
À l'envers
Par Anaïs LAMELLIERE le lundi 17 décembre 2012, 19:44 - Anaïs Lamelliere
Ce projet est un espace dans lequel le spectateur se déplace, espace dans lequel la mort est omniprésente, mais pas que. Cette installation évoque la femme, la féminité par une mise en scène dans laquelle on pénètre dans un intérieur organique, un espace privé, clos. Mais on se trouve également à l'extérieur du corps par l'utilisation de bas qui servent à recouvrir la peau.
Le corps du spectateur joue également un rôle par son intervention physique dans l'espace : il pénètre dans une intériorité dérangeante. Il y a donc une tension forte entre l'extériorité du bas et l'intériorité de l'espace. Le corps est donc entièrement pris à parti.
La vanité est présente par la disposition de fleurs placée dans les sphères qui symbolisent la vie. La mort nous dépasse, c'est une fiction réflexive et méditative universelle. Le spectateur est donc face à son propre passage, éphémère par la fleur qui fane. Mais il est également face à la pérennité du fer, car à travers le temps, l'oeuvre reste intacte. Tension des matériaux qui rappelle à l'homme sa condition humaine.
vendredi 14 décembre 2012
Zone
Par Anaïs LAMELLIERE le vendredi 14 décembre 2012, 18:32 - Anaïs Lamelliere
Ce projet est une installation mettant en scène une cloche sous laquelle est renfermée une multitude de papillons en papier, cloche posée sur un fond doré. Mais elle expose également une sorte de cafard/chenille/phallus disposé face à elle.
Les papillons dévoilent une certaine douceur, légèreté, naïveté mais également la séduction. Il y a comme une ambiguïté entre l'enfant et la femme, comme une naïveté qui se veut fausse ou perdue. Le tissu évoque la sensualité d'un corps à demi-nu, comme un vêtement qui glisse.
Cet espace est sous le joug de l'insecte/phallus.
Il y a une ambiguïté entre la forme, c'est-à-dire une division entre le corps et les pattes de l'animal, qui devient une sorte de vers rampant vers sa proie, s'il est le cafard il est inquiétant, s'il est la chenille il annonce la transformation à venir.
L'insecte et les papillons deviennent comme une métaphore de la perte de la virginité stéréotypée. La vanité est omniprésente par la présence du socle en forme de cercueil qui indique un certain rapport avec la mort. Mort qui se trouve théâtralisée. De plus, l'insecte, symbole de pourriture insiste sur le rapport de pulsion de mort et de pulsion d'amour, base de l'être humain.
Ce travail dialogue avec les frontières du kitsch par la présence de paillettes et de papillons qui permettent d'exacerber ce sentiment de stéréotype de la représentation, c'est-à-dire un renversement total dans la présentation par un jeu de voyeurisme de la part du spectateur.
mardi 11 décembre 2012
Installation
Par Adeline Fournier le mardi 11 décembre 2012, 16:04 - Adeline Fournier
lundi 10 décembre 2012
photographies
Par Anaïs Nisimov le lundi 10 décembre 2012, 22:19 - Anaïs Nisimov
Voici une série de trois photographies retouchées via Photoshop qui abordent la question du caché et du montré, la tension entre le monstrueux et le sensuel, le corps et l'anticorps. Le modèle reste le même ainsi que le fond et les teintes ce qui alimente l'idée de série, toutefois les interventions varient. La position de la personne change tout comme ce que le corps dit par sa posture : questionnements sur le masculin/ féminin, le désir, la naissance de ce fameux corps parfois hybride parfois non.
Ps: Pour regarder les deux autres photos merci de cliquer sur l'annexe.
lundi 3 décembre 2012
Année 2011-2012
Par Pablo Picasso le lundi 3 décembre 2012, 08:09 - Année 2011-2012
dimanche 2 décembre 2012
Créaturisme
Par Léa Sallustro le dimanche 2 décembre 2012, 20:42 - Léa Sallustro
Première épopée.
Main
Par Lucie Marques le vendredi 30 novembre 2012, 11:45 - Photo-Montage
Il s'agit d'un travail photographique questionnant notamment le jeu et la mort. On y décèle malgré l'utilisation affirmée des techniques numériques des références à l'histoire de l'art et de la peinture en particulier. Ici par exemple, la position de la main évoque celle de la main de Dieu dans "la création de l'homme" peinte par Michel-Ange sur le plafond de la chapelle Sixtine.
jeudi 29 novembre 2012
Sculpture chamanique
Par pires le jeudi 29 novembre 2012, 20:49 - Grégoire Pires
Mon premier travail de l'année !
lundi 26 novembre 2012
Guère plus constant qu'un filet de fumée
Par Anaïs LAMELLIERE le lundi 26 novembre 2012, 18:16 - Anaïs Lamelliere
Les vanités sont un symbole de la fin de l'être, mais aussi de son commencement.
La vie est donnée par la naissance de la flamme qui jaillit de la bouche du cracheur ; cependant on suppose que celle-ci va s'éteindre. La flamme devient l'image éphémère de la vie humaine.
Dans la flamme un crâne se dessine, crâne que l'on ne remarque pas immédiatement dans le but de créer une sorte d'intimité entre le projet présenté et le spectateur.
Une confrontation s'instaure entre le visage du cracheur et le crâne : il contrôle le feu mais ne peut contrôler la mort elle-même, toutefois s'il ne la contrôle pas, il joue avec, jeu de l'interdit, voire du dangereux. La confrontation marque le passage entre le Moi et la disparition de la conscience de Soi : la vie sort du cracheur !
La présence de la tête de mort pailletée crée un rapport de taille entre la bougie en forme de crâne et la tête du spectateur, qui rappelle le lien entre le cracheur de feu et la crâne enflammé.
La mort obsède, elle est omniprésente, elle interroge le néant et le vide.
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